Si l'on perçoit le silence lorsque les oiseaux chantent sur un bel arbre, on saisit ce que c'est d'atteindre la compréhension subtile par l'oreille.
Si l'on perçoit l'absence lorsque la lune s'imprime sur une eau claire, on comprend ce que c'est de pénétrer la pureté du vide par le regard.
Extrait de Pavillon du sal (Tu Long 1542-1605)