Usures prometteuses pas si sur alors on ajuste fond et forme.

[Guy H]

 

De C.J.-D..Javary :
Le Yi Jing n’est pas un livre de sorts, il ne prédit pas l’avenir.
Il analyse l’organisation du moment présent de manière à nous aider
 à y insérer au mieux notre action.

C’est fondamentalement un guide de stratégie de la vie quotidienne,
un manuel d’aide à la prise de décision et c’est en cela qu’il est en plein accord
avec la tradition confucéenne.
(p162 : Grandir avec Confucius.)

23, affaiblissement et usure ou éclatement et
22, ajuster fond et forme, grâce, embellir, apparence, l’ornement, la beauté. 
- le H23 : est une situation où est éliminé ce qui n’est plus nécessaire,
 ou a trop duré, alors c’est l’usure .
- le H22 : parle de beauté qui par de petites touches, c’est comme
selon Goethe qui a écrit : " La beauté est un invité qu’on aime accueillir partout."

Et en pleine actualité, de ressentir un fort sentiment d’arrosage de
« bonbons au poivre  » sur la planète
par les intentions d’augmenter les droits de douane internationaux.
Des intentions totalement belliqueuses.

https://astropalais.forumactif.com/t1350-23-l-effondrement

23, l’éclatement ou usure, altération, effondrement, désagrégation
voire élimination.

Le trigramme Terre est surmonté du trigramme Montagne.
Le trigramme 22, le paraître est poussé à son extrême,
 il épuise…apparaît le 23.
C’est l’attaque de cinq négativités voulant évincer le seul trait yang.
Celles-ci usent, sapent et dissolvent cependant il n’est pas montré son éviction,
l’éclatement du yang, c’est du yin presque à son apogée.
Et en cette étude c’est l’inverse le H22 en guide d’être placé après le H23.
[Aparté :
C’est qu’un état d’usure se doit d’être embellit, modulé en sa forme et le fond. Lorsqu’une situation est proche de l’effondrement, elle n’est pas si sur de durer
et donc les effets de subir des changements conséquents.

Les mots : impermanence – effondrement – détérioration – séparation – abandon-  capitulation -  élimination de ce qui est vieux – mort.

Mais aussi :
Mauvais, mal, malheur, infortune, bouché, obstrué, ne pas pouvoir avancer, ne pas pouvoir réussir, etc.

Prononcé FOU : Dénier, refuser, dire non, non, est-ce que…ou non ?
Émonder, dépouiller un arbre de ses feuilles, dépouiller la terre de ses plantes, trancher, racler, amincir, diminuer, dénuder,
dépouiller, priver, enlever la peau ou l’écorce, peler, éplucher,
fendre, ôter, réduire, blesser, nuire, affliger, dépérir, déchoir, tomber.

Autres symboles :
Érosion – élagage –une hache qui entaille branches et écorces – dépouillement – fragiliser – abuser – tirer sur la corde comme si on voulait qu’elle se casse – période avant le solstice d’hiver – désagrégation.

Le Ricci : décadence, moment où les éléments de faiblesse se rassemblent pour ruiner ce qui est fort.
Le ciel antérieur du H23 est le H62 qui invite à patienter par un arrêt, une stabilisation et l’on se trouve dans l’antichambre du H63 (merveilleux aboutissement du LIVRE) , la porte d’accès est de se REPOSER, normal après toute usure et de s’économiser,
 comme il n’y a pas de lieu où aller autant rester en cette antichambre.

Dans l’image chinoise, nous avons un homme monté au sommet d’un arbre, il en coupe la flèche, après avoir élagué toutes les branches avec un instrument tranchant.
Il s’agit d’abattre, de " détruire ", de peler, ôter l’écorce, écorcher, mutiler,
décapiter, étêter, couper des céréales, de sanctions et la conséquence.
Il est dit de privilégier à un ressourcement et l'intériorité, de faire silence.

Un vieil adage chinois dit :
"Petite correction vaut mieux que grand avertissement."

D’où l’éclatement qui survient lorsque le H22, la grâce ou beauté
(ce domaine merveilleux atteint) incite à modifier sérieusement le comportement.

 Puisque ayant goûté à cette "grâce ",
le regard s’est orienté vers des sommets nouveaux -
le seul trait YANG du H23, reste au sixième rang de l’hexa - 
 seulement poussé par des forces Yin de vouloir l’user sans y parvenir,
comme le laissant toutefois en suspens.

En trois traits il est question d’un lit qui est USE jusqu’à la peau.
Est-ce d’avoir dormi longtemps que l’usure survient ?

Ou bien autre pensée de cette usure apportée par Pierre Faure en ce quatrième trait :
" Si la peau est la surface extérieur de ce qui est vécu en profondeur, ce qui pose ici la question de l’authenticité. Inutile de s’épuiser dans des faux semblants qui ne dissimulent plus rien et ne conduisent qu’à des tracas. "

Aparté :
Voyez mon regard de qui cela pourrait-il s’agir?
Le Roi Ubu ?
C’est une démonstration de l’état de l’usure qui peut certes faire
éclater ce yang finissant et ne plus être au sommet.
Est-ce pour vouloir mieux réapparaître ? (H24)

Dans le déroulement des choses : la nuit est essentielle, la mort inéluctable,
la fin est le terreau du renouvellement.

Cet hexagramme fait partie de l’ordre naturel de l’univers.
Il ne faut pas de suite en dégager des aspects négatifs.
J’aime à dire qu’il n’y a pas d’hexagrammes négatifs puisque
 l’harmonie œuvre en tous points du globe
 et tous les instants dans un univers de dualité .

Il y a toutefois à vivre des moments plus difficiles que d’autres et
déjà en nous , nous pensons que nous avons les moyens d’appréhender
 l’adversité qui en fait n’est qu’un  " passage "
 obligé comme l’image d’une " traversée des ravins",
 de manière allègre.
Cette usure survient par une nouvelle vue de l’ordre naturel de l'univers qui s’accomplit.
Un chemin continuellement marqué par des épreuves,
le H23 en est une à lui seul.

" Cela seul le sage sait faire : avancer et reculer, exister et mourir, et pourtant il ne perd pas sa rectitude. Cela seul le sage sait le faire ! " Wen Yan

Cette formule peut désigner l’unique survivant des grands personnages de son temps, celui qui incarne une véritable sagesse
dont les silences sont des enseignements.

" Le commencement du plein jour est une période particulière dans le temps.
Le matin est un moment crucial ;
c’est l’instant où le soleil pointe le bout de son nez à l’horizon
après s’être baigné dans l’Étang –Universel ;
après s’être essuyé en se frottant sur l’écorce du Mûrier,
 il grimpe le long de ses branches afin d’atteindre la Colline Torse
 où il apparaît dans toute sa splendeur lumineuse.

La fin de la nuit est toujours saluée comme une délivrance ;
 on se défait d’une " vieille peau "
 qui tombe à terre comme les lambeaux de l’écorce d’un arbre.
C’est le moment de s’occuper de ses racines,
 de ses bases en vivant pleinement
 la coupure avec le moment précédent.

C’est également le moment de couper les céréales,
 de faucher tout ce qui dépasse ou
part en tout sens afin d’éviter les excès,
les herbes trop hautes, les branches sèches. "
Sylvie Verbois  dans " le classique de la simplicité ".

C’est une belle façon de proposer une rupture entre nuit et jour.
Le H23 indique que quelque chose dans la vie s’achève.

S’il n’y avait pas de fin, il serait impossible qu’un nouveau commencement apporte une vie nouvelle, car tout se rénove de manière cyclique en se défaisant de ce qui est ancien.

Nous aimons les couleurs du printemps,
 de l’été et de l’automne,
 quand l’hiver s’installe et que les arbres sont dénudés,
 il devient plus difficile d’en apprécier la beauté austère.
Tout comme l’hiver est la saison de la vérité nue,
 sans fioritures, le temps de l’usure l'est aussi
ainsi d’avoir une perception juste de la réalité au cœur de la saison.

Ce temps d’éclatement, d’usure doit être compris avec détachement
par un lâcher prise nécessaire.
Il nous contraint à des changements en mettant en lumière certains faits
 qui nous refroidissent, comme le chagrin, la déception, la mort, la déchéance,
 et qui sont rarement perçus comme beau.

Quand, après minuit, la positivité revient, nous entrons dans un nouvel état.
C’est vrai également à partir de minuit au solstice d’hiver.

Le Yi Jing d’étendre cela jusqu’au domaine des synthèmes moraux :
" La positivité c’est la vie de l’homme doué,
de sorte que le « retour » et considéré comme exprimant le sens de revenir au bien."
Aussi un Taoïste comprend-il que tout retour au bien
peut-être figuré par le système astrologiqque chinois de l’entrée dans le signe du Serpent de bois.

Quand vous êtes confrontés à une séparation ou à une détérioration,
vous êtes en situation vulnérable, poussé par des forces extérieures trop importantes
pour que vous puissiez les ignorer.
A un certain niveau, vous êtes face à l’inévitable de la mort et
 vous devez lâcher prise. 

Citation de François Cheng :
" La mort qui rend tout unique est l'unique accès à la transformation."

Arrive donc une nouvelle compréhension en soi.
Au lieu de comprendre que les choses s’opposent naturellement,
comme lumière et l’obscurité ou les deux faces d’une même pièce,
nous avons tendance à leur attribuer des valeurs positives et négatives
alors qu'elles sont complémentaires.

Nous considérons donc la tristesse comme une menace vis-à-vis du bonheur,
 la mort comme une défaite de la vie.
Tout esprit dualiste maintient comme dans une prison un jeu de ping-pong mental
 nous faisant peur et va à l’encontre de la nature,
 en niant sa dimension globale et continue,
 son cycle régénérateur de mort
et de renaissance qui rythme le battement de cœur de la vie elle-même.

En de telles circonstances, l’unique option est de laisser la nature suivre son cours,
consacrant toute énergie à favoriser les différentes nourritures du ciel et de la terre,
et au flux universel de reprendre son cours éternel.

Franchir toutes les appréhensions que l’on peut avoir de la vie,
 sauter le pas comme installer en soi un grand lâcher-prise.

Ce H23 s’adresse-t-il à l’intérieur de l’homme comme l’exprime
 un poète persan Djalâl-ad-Dîn Rûmi :
 " Cherche en toi-même…car tu es tout. " Et d'ajouter, en un grand silence.

En une telle circonstance ou usure, fatigue et affaiblissement peuvent épuiser,
un savoir-faire est bien hautement nécessaire malgré tout:
retourner en des pérégrinations, un chemin comme un renouveau utile.
On se positionne sur la Voie de l’apaisement, on fait intervenir le fond et la forme. Un guide tout à fait opportun le H22.[/i]

Ce guide de devoir veiller à une existence harmonieuse
 et se débarrasser du poids de l’apparence.
Un modèle est tout trouvé dans la Nature, si belle à rencontrer.
Ne dit-on pas que la beauté de la nature est amour.

https://astropalais.forumactif.com/t1349-22-l-elegance

 22, la grâce , embellir ou la beauté, la parure,
ajuster le fond et la forme.

Le trigramme Feu est surmonté du trigramme Montagne.
Le feu qui éclaire l’intérieur de la montagne est une image
d’une parfaite correspondance entre l’apparence (l’apparat) et la réalité.
Prendre soin de l'extérieur sans négliger l'intérieur.

Les mots : parure – élégance – mis en évidence de la beauté – extérieur, reflet de l’intérieure  - vanité – charisme – expression de soi.

Mais aussi : éclatant, brillant, orné, élégant.

Autres symboles :
Ornement – le jaillissement d’une multitude de coquillages, de choses belles et précieuses – émergence, jaillissement de ce qui est précieux :
 la beauté naturelle – sans apparence – sans maquillage.

Le Ricci: Raffinement, moment où l'harmonie du fort et du faible
 contribue à leur mutuel embellissement.

Le ciel antérieur du H22 est le H26 LA  RETENUE DU GRAND ou accumulation du grand et encore grand apprivoise.
 Une belle citation de Carl Gustave Jung d’approcher la raison de ce ciel antérieur à la beauté.
"S’il n’y a pas une forme qui contienne en elle le désir et le comprime,
celui-ci ne peut parvenir à un niveau plus élevé."

En toute situation un temps est venu à l’harmonie de
se révéler telle qu’elle est dans l’instant…mais l’apparence n’est pas tout.
Faire face à de l’empressement ou prendre le temps et regarder l’harmonie
là où elle s’expose.

La plupart du temps, cette révélation est intérieure ;
 elle peut sembler être causée par des circonstances
extérieures mais,
en réalité, c’est l'être intérieur qui de lui-même s’est réaligné
 sur le Tao… d'où un éveil momentané…
puis celui d’agir en se disant il faut que cela cesse !
Un éveil est effacé et d’en appeler d’autres.

Comme tout est accord, la grâce ou beauté invite à porter
un regard sur la parure qui sera un jeu du yin et son yang accolé.

Nathalie Chassériau apporte une excellente vue de ce H22.
"L’hexagramme peut être lu à trois degrés différents,…/…

Le premier concerne l’apparence extérieure :
 nos vêtements, notre maison, notre voiture, notre moto ou vélo…
notre élégance vis-à-vis de l’extérieur,
tout est langage, tout parle de nous, nous révèle aux autres.
Voilà pourquoi négliger son " look " c’est se négliger soi-même et
négliger ses rapports avec les autres parfois être « in » !

Le second degré traite de l’intériorité de l’individu :
 ici les " fioritures " à éliminer sont toutes les préoccupations futiles ou mesquines qui parasitent notre esprit et compromettent notre évolution personnelle.

Le dernier degré peut s’agir d’un rappel à l’ordre…/… "

Que dire de plus à cette étude ?
 Il nous arrive de nous poser une question pour commencer une journée.
Celle de se modérer, d’acquérir de la patience ou PAS !

Lorsqu’un temps d’usure affecte les gens, des temps de fatigue et de désintégration les minent. " Il n’est pas avantageux d’aller où que ce soit."

Une seule petite réflexion supplémentaire, prendre conscience d’un blocage.
Une entrave doit être dépassée.
Une contemplation devant la grâce, la parure de la nature et
le début d’un essor apparaît.

De cette étude des H23 et H22
il est important étant arrivé à un point d’usure critique,
il est temps de déverrouiller son cœur et par ménager toute situation d’usure dans le fond et la forme.

En ce poids du H23,  si l’usure perturbe un équilibre,
 un temps de remise en place de la forme comme du fond sont nécessaires.
Une stabilisation est en marche symbolisée par la montagne au sommet de ces deux hexagrammes on redouble par des effets " pour diminuer une usure !"

On évite qu’une " masse critique, un poids ultime de l’usure " arrive à un point de déséquilibre.
L’intention subtile alors est de " faire venir une pluie bienfaitrice "
ainsi le Sage restant seul est sans crainte de la persistance de ce temps d’usure.

Le H22 est l’épreuve de l’usure effacée.
A l’étude de cette association
le symbolisme des trigrammes s’impose.

H23 : le trigramme Terre en bas est surmonté de la Montagne,
H22 : le trigramme Feu en bas surmonté du trigramme Montagne.

H23 : c’est beaucoup de terre et aussi une image en tant que matrice nourricière et protectrice.
On approche à une fin de cycle, la terre va épuiser la montagne sans en éjecter son sommet, mais s’apprête tout de même à le faire. Est-ce pour l'aplanir ?
Est-ce évacuer l’inutile ?
 Éjecter le seul trait yang n’est pas aisé car depuis longtemps installé
au sommet, il est comme usant autant que les cinq traits Yin qui le pousse.

Il demeure toutefois comme en embuscade par son retour proche avec le H24,
un seul trait yang cette fois-ci de pousser cinq traits yin.
C’est donc l’occasion de laisser à terre de vieux vêtements avant d’en endosser de neufs qui seront endossés à leur heure.
Comment ces trigrammes si proches s’accordent-ils ?

Cinq traits yin veulent évincer le seul trait yang au sommet, la montagne se dressant altière.
Le feu de s’installer pour s’accorder avec la montagne qui le supplante.

H22 : La montagne n’a pas le feu à son sommet (sinon il devient voyageur H56) mais à sa base et d’être illuminée.
 Chauffant, brûlant est-ce un élément troublant  pour qui va devoir trancher ?

Ainsi la montagne d’adoucir ce feu par son Yin qui stabilise, tranquillise.

 On résume du H23 et l’utile H22 fait office d’un spectacle à une intervention énergique pour harmoniser une usure !

[Aparté : Embellir et proposer des bonbons « au poivre ! »

Si l’actualité est pressente, si une guerre économique se profile sur la planète, des signes d’usure de naître si forts qu’un grand pays transforme ses décisions
et de contrarier les autres nations. Des masques d’enrober la réalité à un peuple aux USA, même par une communication infantile des droits de douane infligés aux nations, c’est cacher la vérité des perspectives futures douloureuses qui pointes le jour.
Dingue que d’embellir cette réalité, c’est développer un populisme hélas pour essayer de durer dans le temps ! Et ce n’est pas un Fake news !

Connaître les transformations auxquelles chacun fait face chaque jour,
c’est prévoir mais lorsque la puissance céleste s’en "mêle",
il s’ensuit une prospérité.
Et lorsque inspiré par une totale acceptation
(d’autres écrivent se baigner en une grande foi),
toutes actions et toutes paroles sont porteuses à la fois de causes
 et de conséquences toutes aussi harmonieuses, toutes aussi douloureuses.

De cette étude, les conseils invitent à expérimenter la méthode de se laissez couler en tout ce qui surgit.
Comme un NON-AGIR réconfortant, apaisant
puis après de diffuser son enseignement !
En s’élançant dans le ciel…comme le ferait un oisillon en son premier vol. 

" C'est l'écoute, la patience et la capacité de mener à terme,
et de réussir." Un potentiel infini, immense réservoir de formes en gestation comme des contes à venir.

Avec le H23 c’est accepter de travailler à accroître
l’harmonie……même si cela passe par un temps nécessaire
 (d’adversité, d'usure, fatigue)
comme  pour entrevoir des jours meilleurs.
Avec le guide de s’accorder à nourrir l’explication du H23 et de se tenir
irrésistiblement dans le Yin.
Ah…usure du temps lorsque tu nous tiens !

Henri Michaux écrivit :
" Ce que tu as gâché,
que tu as laissé se gâcher et qui te gêne et te préoccupe,
 ton échec est pourtant cela même qui, ne dormant pas,
est ÉNERGIE, énergie surtout.
Qu’en fais-tu ? "

C’est par cette belle question- invitation
qu’étant surchargé d’événements ou de problèmes,
nous trouvons tout en nous pour y faire face,
tel est aussi le principe du Yi King, de nous faire voir,
entrevoir une énergie invisible.
Celle d’une pluie battante en l’atmosphère étouffante d’un été.

D’œuvrer dans le yin et par le yin
c’est raconter de hautes réflexions harmonieuses contenues dans les silences.
Elles racontent ces moments lointains ou récents d’état d'usure qui causaient
ou causent encore des dégâts considérables.

 J'ajoute qu'à toutes avancées dans le bien,
vécues en une pleine conscience,
est signe de réussite
ainsi on remédie à des situations des plus compliquées
 en prenant le temps d’une réflexion pour " tenir "
 " ce temps d'usure
en mâchant et avalant pas forcément des bonbons au poivre
mais les silences,
les histoires contées faisant le reste."

 

Guy H

[Aparté : A signaler qu'il n'y a aucun rapprochement à des événements actuels et si cela était, complètement fortuit cela serait, car les baguettes utilisées apportent chaque jour des hexagrammes de manière aléatoire pour cette étude.]